Pandores et Aurélies sont de chair et de sang, de lumière et d'horizons : la première évoque un monde de théâtre, la seconde nous plonge dans une quête au-delà de la vie, à la recherche d'une figure mystique et salvatrice. Voyant parmi les visions fugaces de femmes disparues, d'ancêtres regrettés, de paysages merveilleux et inconnus, Gérard de Nerval nous entraîne dans les méandres de son âme et de sa folie.
Un bourgeois est en litige avec son neveu qui le méprise ouvertement. Un duel s’ensuit. Mais le bourgeois, voulant s’assurer de sa victoire, va voir un bohémien escamoteur et magicien qui pourrait l’aider.
En 1843, G. de Nerval arrive à Constantinople au terme d'un long voyage. Le sultan Abdül-Medjid, qui règne depuis 1839 sur l'Empire ottoman, vient de promulguer les réformes institutionnelles qui vont transformer et moderniser le pays. Extrait du Voyage en Orient, ce texte permet de partager les émotions d'un écrivain sensible aux réalités alors méconnues de l'Empire ottoman.